Et ouais, comme le disait si bien notre amie Carrie, on a vraiment le droit de s’acheter les chaussures qu’on veut. Bon le message était peut-être un peu plus subtil (indépendance de la femme, toussa, toussa).
Mais avec cet adage en tête (oui il faut toujours une raison) il y a eu craquage en beauté. Aller-retour dans la journée à Londres car, Ô grand désespoir, il n’y a pas de boutique Manolo Blahnik à Paris et excursion Jimmi Choo aux Galeries Lafayette pour un ravitaillement d’été (même si on a fait un bond au mois de novembre aujourd’hui avec manteaux et écharpes mais on garde les ballerines pour se croire en été hein, c’est psychologique).
Mais avec cet adage en tête (oui il faut toujours une raison) il y a eu craquage en beauté. Aller-retour dans la journée à Londres car, Ô grand désespoir, il n’y a pas de boutique Manolo Blahnik à Paris et excursion Jimmi Choo aux Galeries Lafayette pour un ravitaillement d’été (même si on a fait un bond au mois de novembre aujourd’hui avec manteaux et écharpes mais on garde les ballerines pour se croire en été hein, c’est psychologique).
Voici donc ma petite collection du jour (3 premières Manolo Blahnik, 4 autres Jimmy Choo):
And the winner is... La rouge compensée du milieu ! Elle est juste magnifique.
RépondreSupprimerPimprenelle
Moi je craque pour la deuxième de Jimmy Choo... tellement élégante ...
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